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Mise à jour économique et budgétaire 2019 : Version texte

Graphique 1.1b

Ce graphique présente le taux de chômage et le taux d'activité chez les gens de 25 à 64 ans. On peut y lire que depuis 2016, le taux de chômage a diminué, tandis que le taux d'activité a augmenté.

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Graphique 1.2a

Le présent graphique montre l'évolution du commerce, de la production industrielle et de l'activité commerciale mondiaux depuis le début de 2016. Il indique une accélération du commerce, de la production et de l'activité commerciale jusqu'au début de 2018. Les trois indicateurs montrent que la croissance a commencé à ralentir par la suite, et a même accusé un rendement négatif après le début de 2019 en ce qui a trait au commerce mondial.

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Graphique 1.2b

Ce graphique indique les taux directeurs de quatre banques centrales, de janvier 2016 à décembre 2019 : la Banque du Canada, la Réserve fédérale américaine, la Banque centrale européenne et la Banque du Japon. Au cours de cette période, les taux directeurs sont demeurés essentiellement les mêmes à des niveaux très bas pour le Japon et la zone euro. Pour le Canada et les États-Unis, les taux directeurs ont augmenté graduellement entre la fin de 2016 et la fin de 2018. Alors qu'au Canada le taux directeur est demeuré stable, celui des États-Unis a depuis affiché un recul de 75 points de base.

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Graphique 1.3a

Ce graphique présente une ventilation de la croissance du PIB canadien en deux volets, soit la productivité de la main-d'œuvre et l'emploi. Il indique que la tendance à la baisse dans la contribution de l'emploi observée au cours des quelques dernières décennies devrait s'accélérer, voire devenir négative au cours des prochaines décennies. Le maintien de la croissance de la productivité, laquelle affiche également un ralentissement, à son niveau des années 2010 entraînera un écart de la croissance du PIB par rapport aux niveaux actuels.

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Graphique 1.3b

Ce graphique illustre la croissance moyenne de productivité de la main-d'œuvre pour le Canada, la zone euro, le Japon, le Royaume-Uni et les États-Unis, sur deux périodes : de 2000 à 2007 et de 2008 à 2018. On peut y lire que la croissance moyenne de la productivité du travail a ralenti pendant les deux périodes, tant la première que la seconde.

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Graphique 1.4b

Ce graphique montre une ventilation de la croissance réelle du PIB en deux volets : les secteurs des mines, du pétrole et du gaz ainsi que de la construction par rapport au reste de l'économie. On peut y lire que les deux volets ont contribué de façon positive à la croissance réelle du PIB au cours de la période allant du 1er trimestre de 2018 au 3e trimestre de 2018. La contribution de ce premier est devenue négative au cours de la période du 4e trimestre de 2018 au 1er trimestre de 2019, ce qui exerce un poids sur la croissance totale. La croissance totale a rebondi sur la période du 2e trimestre de 2019 au 3e trimestre de 2019, car les deux volets ont contribué favorablement à la croissance.

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Graphique 1.5b

Ce graphique indique la croissance du salaire horaire selon l'indicateur salaires-comm. Il indique que la croissance des salaires a rebondi à un niveau d'environ 3 %, à la suite d'une décélération de la croissance des salaires liée au choc pétrolier en 2016. Il s'agit du niveau le plus élevé de croissance des salaires depuis 2011. Le graphique indique également l'étendue de la croissance des mesures individuelles utilisées pour créer la série commune.

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Graphique 1.6a

Le graphique présente une ventilation de la croissance de la population en une augmentation naturelle (les naissances moins les décès), l'immigration nette permanente et l'immigration nette temporaire. On peut y lire que la croissance de la population a augmenté d'un peu plus de 1 % par année entre 2001 et 2014. Malgré une contribution à la baisse de l'augmentation naturelle, cette dernière est passée d'environ 0,8 % en 2015 à 1,4 % en 2018 et en 2019, ce qui indique une contribution stable de l'immigration permanente et une poussée de l'immigration temporaire.

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Graphique 1.6b

Ce graphique illustre les contributions à la croissance moyenne de la population provenant de l'augmentation naturelle (les naissances moins les décès) et de l'immigration pour les pays du G7. Parmi les pays du G7, le Canada affiche la prévision de croissance de la population la plus rapide au cours de la période allant de 2015 à 2020, situation attribuable en grande partie à l'immigration.

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Graphique 1.7a

Le présent graphique montre l'évolution des reventes de logements depuis janvier 2015 dans les principaux marchés suivants : Toronto, Vancouver, Calgary et Montréal. Bien que les ventes aient été faibles en 2018 à Toronto et à Vancouver, elles ont enregistré un important rebond depuis le début de 2019. Les reventes à Calgary sont modestes, mais ont montré certains signes de reprise au cours des derniers mois. Le marché de Montréal demeure fort, et les ventes continuent d'augmenter.

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Graphique 1.7b

Le présent graphique montre la croissance cumulative du prix des logements depuis janvier 2015 dans les principaux marchés suivants : Toronto, Vancouver, Calgary et Montréal. Bien que la croissance des prix ait ralenti en 2018 à Toronto et à Vancouver, ils commencent à accélérer de nouveau. À Calgary, ils diminuent depuis 2015, mais ils ont montré certains signes de stabilisation au cours des derniers mois. Par contre, le prix des maisons augmente constamment depuis 2015 à Montréal.

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Graphique 1.9a

Le graphique divise le total des exportations réelles canadiennes en trois volets – les exportations d'énergie, les exportations de biens et les services non énergétiques – pour ensuite indexer chacune des composantes à 2015 afin d'indiquer leur rendement relatif à chacune depuis cette période. On peut y lire que depuis 2015, les exportations de biens non énergétiques ont légèrement augmenté, mais à un rythme plus lent que celles des secteurs de l'énergie et des services.

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Graphique 1.10a

Le graphique illustre la manière dont l'évolution des investissements réels des entreprises au Canada, tant pour les investissements totaux des entreprises et les investissements excluant le pétrole et le gaz, se compare à celle des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'Allemagne. Il indique que les deux séries canadiennes ont atteint un creux vers la fin de 2016, pour rebondir au début de 2018, et qu'elles demeurent largement inchangées depuis. Entretemps, une étendue pour les trois autres pays indique que les investissements ont augmenté tout au long de la période dans ces pays. Elle indique également que les investissements des entreprises canadiennes excluant le pétrole et le gaz sont retournés à leurs niveaux préalables au choc.

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Graphique 1.10b

Ce graphique montre la ventilation de la croissance de l'investissement réel des entreprises du secteur pétrolier et du gazier par rapport à celle du secteur non pétrolier ou non gazier. Il indique que les deux catégories ont contribué de façon négative à la croissance du début de 2015 jusqu'au début de 2017. À ce moment, les deux sources ont contribué positivement à la croissance, et les investissements des entreprises non pétrolières ou gazières avaient affiché une très forte croissance jusqu'au milieu de 2018. Depuis, la croissance des investissements pétroliers et gaziers est de nouveau négative, avec une croissance des investissements non pétroliers et gaziers de près de zéro.

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Graphique 1.12a

Ce graphique présente le solde budgétaire au fil du temps, à la fois en termes absolus et en proportion du PIB. On peut y lire que le solde s'est accru au cours de la période de projection, avec un déficit de 26,6 milliards de dollars en 2019-2020 qui a diminué pour s'établir à 11,6 milliards de dollars en 2024-2025.

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Graphique 1.12b

Ce graphique présente le ratio de la dette nette fédérale au PIB au fil du temps. Il indique un sommet de plus de 60 % à la fin des années 1990, chutant à une projection de 29,1 % en 2024-2025.

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Graphique 1.13b

Ce graphique présente le solde budgétaire projeté selon les quatre projections économiques les plus optimistes et les quatre plus pessimistes. On peut y voir un écart croissant dans les résultats en ce qui a trait au déficit.

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